L’atelier cette fois-ci sera Transdisciplinaire : c’est-à-dire qu’il s’ouvre à l’expérimentation comme savoir. Les réponses ne sont plus à chercher du côté des sujets, des thèmes, des propositions d’espaces donnés. Ce temps de la recherche est un temps gagné sur demain (car l’atelier se veut un moment ‘d’arrêt’, comme ’accélérateur de particules’). L’atelier permet la prise de risque, dont le but est de forger chez l’étudiant(e) une intelligence fine et particulière. Donc : pas de techniques applicables ou d’outils de formation ; il faut les inventer, il faut aller les chercher et se surprendre. Produire une ‘matière’ qui procède aussi bien de la science, de la littérature, de l’espace, du cinéma, de l’édition…, c’est, ainsi, faire preuve d’une part d’inconnu et d’un sens critique sur les pratiques et les réponses, apprises, données ou attendues. L’objectif est de donner, à chaque étudiant(e), la capacité d’agir et d’être un interlocuteur, un référent qui fait bouger les limites de l’architecture d’intérieur, des espaces privés et publics. Ce processus s’inscrit en ligne droite des bacs en architecture d’intérieur, de l’approche d’Espaces scénographiques et Patrimoine bâti en master 1, comme de tous autres parcourt extérieurs à l’AI.

À définir.

Cotation d’atelier par les enseignants et évaluation par un jury extérieur en fin de quadrimestre. Remise en jeu du travail d’atelier par l’espace d’exposition/l’espace du jury. Mise en relation des savoirs d’atelier (individuel et collectif).